Tristan Faulkner est un chanteur et auteur-compositeur d’origine anglaise. Arrivé en France à l’âge de dix ans, le paysage rural dans lequel il a passé ses années d’adolescence a favorisé l’apprentissage ainsi que l’immersion musicale. Faulkner émerge à l’âge de 15 ans et commence à jouer ses propres compositions en Live ; lors des scènes ouvertes, des fêtes de la musique, et des tremplins musicaux. Il commence à enregistrer ses premières compositions dans sa chambre, qu’il convertit progressivement en Home studio. “Lost”, apparait en printemps 2015. Elle comprend 6 chansons, Faulkner s’attaque à plusieurs thèmes : le bouleversement de l’amour, la question de trouver sa voie et le désir d’être vrai à soi-même. Dans les années qui suivent, Faulkner joue sur scène de plus en plus. En 2016 il fait deux premières parties pour le groupe Archimède. Cela ne l’empêche pas de composer. À l’âge de 17 ans, il enregistre et sort un album de 11 chansons. L’album se nomme “16”. Moins jovial que “Lost”, ses chansons sont plus sombres, avec les thèmes du regret, des troubles domestiques et des troubles amoureux. Le dilemme de se sentir étranger à la fois dans son pays de naissance et dans le pays dans lequel il habite apparaît aussi sur “Home”. La sortie de cet album a été accompagnée de quelques dates en Bretagne et en Mayenne. En novembre 2018, Faulkner sort un nouvel EP, “The Balcony”. “The Balcony” est une chanson qui se balance entre rêve et réalité. La chanson met en contraste les sombres semaines d’hiver avec le refuge, qui est le balcon d’un ami. La mélodie nostalgique comporte plusieurs guitares et pianos doux joués par Faulkner. La batterie est assurée par Morgan Witley-Richards. En 2020 Faulkner sort deux nouvelles chansons « Did You See Her Too ? » une chanson qu’on pourrait décrire comme acoustic lounge. Et “Soul Song”, une chanson née des peines introspectives du confinement. Mais surtout de l’amour de Faulkner pour les grands artistes de Soul ; Aretha Franklin, Stevie Wonder et Nina Simone pour n’en citer que quelques-uns. Faulkner continue à composer même quand il est impossible de jouer en live ; Le 2ème Confinement est encore un moment d’introspection. « What Gives? » est une chanson qui évoque les souvenirs sauvages qui peuvent venir nous attaquer du jour au lendemain. L’amour et les dieux ne semblent plus être présents, un sentiment d’abandon et de panique s’ installe progressivement comme un patient dans une chaise longue. La chanson a un air classique de Rock n’ roll et les paroles ont un punch dont on ressent l’inspiration directe de Bob Dylan. “All these words / That I once said / or that someone said / or Images have put / On boxing gloves”.
Rythmés par les percussions, les chants polyphoniques de ZeWitches mêlent soul, blues, folk et pop. Ce groupe mystique et sororal se nourrit des origines des quatre musiciennes (Maroc, Ethiopie, Réunion, Etats-Unis) et prône la liberté des envies comme des influences.
En résulte des morceaux inspirés, qui touchent au plus profond les âmes alentour, faisant vibrer et groover le public !
Duo formé en 2013 qui ne se contente pas de revisiter les grands classiques, mais composent ou arrangent à leur sauce, une musique de terroir reposant sur le country blues, le rock, le folk qu’ils interprètent sans fioritures, à la rugueuse tout en distillant, par ci par là un peu de poésie…. La voix gutturale et puissante du grand barbu, son jeu de guitare hypnotique et le rythme basique de la batterie créent une ambiance tantôt douce et caressante en folk, tantôt lourde et très garage en Blues Rock.
Biographie
“The Blue Butter Pot” est sorti des sentiers battus du 12 mesures et de la balade en délaissant la guitare acoustique pour se forger une identité originale tout au long des 80 concerts donnés en 2017. Duo théâtral, fougueux et pour peu qu’on laisse les deux compères s’exprimer, parfois même burlesque, la spontanéité franche explose sur scène avec un batteur insolent et puissant ! C’est sur son groove massif que le Dandy guitariste, grave et charismatique, cogne ou effleure sa guitare en grognant de sa voix d’outre-tombe les textes inspirés tantôt du quotidien, tantôt d’un imaginaire débridé sur fond de carte délavée des folklores marécageux et mécaniques américains.
MyBodyHorse, c’est un peu le rejeton bâtard du blues et du punk garage, décadent et distordu, quelque part entre les Cramps, John Spencer, Bob Log et Bloodshot Bill.
Le one man band navigue entre le punkabilly endiablé et les bons vieux standards ressuscités ou profanés dans des tunnels de reverb interminables, des échos hypnotiques et des guitares rock’n’roll acérées.
On retrouve dans l’énergie du live, d’obscures riffs boueux, un bottleneck incandescent et des «wouhou» fantomatiques à la manière d’une cérémonie vaudou pour invoquer les esprits du passé tout en restant encré dans une dynamique furieusement contemporaine.
Pour les amateurs de : The Cramps, Jon Spencer Blues Explosion, Bloodshot Bill, Reverend Beatman, Bob Log III, Hanni El Khatib, Left Lane Cruiser, Black Diamond Heavies, the White Stripes, …