The Slow Sliders naît de la rencontre à Brest de Axel, Clovis, Gwen et Victor.
Désormais nantais, le quatuor fournit une indie pop surf dans les clous et efficace, sans complications inutiles.
Il y est question d’histoire d’amitiés et d’amours, de fêtes interminables, de coups de cœur comme de coups durs et de chiens.

THE SLOW SLIDERS

Il y a quelque chose d’impertinent et de rude qui se dégage lorsque l’on traîne dans les quartiers résidentiels.
Une atmosphère singulière que les trois musiciens de SBRBS ont naturellement assimilé. Ils construisent une musique à l’évidence pop mais aussi puissante que leurs références anglaises et américaines.
Sans avoir la prétention des beaux quartiers, SBRBS ne prend que ce qui les intéresse dans ce labyrinthe musical actuel.

SBRBS

Sorti des tréfonds d’un rade aux origines douteuses, les rennais de Clavicule propose un rock garage influencé par la grouillante scène californienne (Ty Segall, Meatbodies, FIDLAR…) auquel s’ajoutent de larges influences allant du punk au psyché, en passant par le surf ou le grunge.
Un savant dosage qui a permis aux larrons de Clavicule d’enchainer plus d’une trentaine de dates en seulement quelques mois dont plusieurs premières parties de groupes internationaux (The Darts, The Floors, Les Lullies, Phoenician Drive..). Sur scène c’est un vrai déluge : fuzz, distorsions, et martelage explosif de fûts, le groupe livre un set intense et sans répit, à la fois explosif et mélodique.
Après avoir sorti un premier EP autoproduit en juin 2019, le groupe s’est fait remarquer par les labels Beast Records et Open Up and Bleed Records et à enregistré, au studio La Double Boite, son premier album, produit par Dimitri Dupire.

Depuis 2007, The Missing Season a parcouru du chemin. Nicolas Gautier et Marin Perot ont commencé avec leurs guitares acoustiques et leurs voix et ont depuis exploré les territoires du folk rock, de la pop sur 4 albums et un EP. Le groupe s’est aujourd’hui mué en quintet Indie Rock et compte dans ses rangs des membres de Sudden Death of Stars, Totorro, Baston et Bantam Lyons. Les arpèges cristallins et les ballades dépouillées des débuts ont cédé la place à une électricité libératrice aux refrains entêtants…. C’est la forme qui change, car, à l’image d’un Neil Young ne pouvant se résoudre à choisir entre la calme pureté d’une ligne de banjo et l’urgence furieuse de son Crazy Horse, le fond est toujours là. Les mélodies imparables, les voix siamoises, la route et le romantisme.

Sur « Gettin’ Back », leur nouvel et 5ème album, on trouve des chansons brutes, spontanées ayant parfois des résurgences lo-fi. La part belle est laissée aux guitares électriques, toujours au service du morceau et avant toute chose au service de la mélodie.Le groupe s’est attaché à concevoir les arrangements de ce « Getting Back » de façon à restituer au mieux des chansons qui font d’ores et déjà parti intégrante du nouveau répertoire live. L’enregistrement et le mixage de ce nouvel album ont été réalisés par Marin Perot et Nicolas Gautier et le mastering par Aaron Cupples de Civil Civic.

Insouciants & désinvoltes, raffinés & sauvages, les Madcaps sont les fringants représentants d’une bouillante scène française. Originaires de Rennes, bastion du garage rock tricolore, les Madcaps tirent leur épingle du jeu à force de mélodies efficaces et accrocheuses en proposant un éclectique mélange de rock n roll fiévreux, de ballades ensoleillées et de grooves intemporels. Après trois années à sillonner l’Europe avec 150 concerts au compteur, les Madcaps sont devenus sur scène une impertinente machine de guerre à l’énergie dégoulinante et irrésistiblement communicative. Amateurs des Kinks, Beatles ou des productions du label Daptone, vous auriez tort de vous abstenir. Ils seront sur les routes de France et de Navarre en avril pour défendre leur nouvel album Slow Down, sorti le 31 mars sur Howlin Banana & Beast Records.