“It’s just a dream, so don’t wake me up”, nouvel album de THE BURMESE DAYS [art rock / Rennes]

autoportrait
C’est sur les bancs de la fac que se rencontrent Jude Jr et Kpt Kharma en 2012, à Rennes. Deux univers bien différents, l’un musicien, l’autre graphiste, et une volonté commune de lancer un projet fou qui mêlerait musique et web-série. Si la web-série ne voit finalement pas le jour, un groupe de musique va naître.
The Burmese Days, inspiré par le fameux roman de Georges Orwell et les paysages fantasmagoriques de la jungle birmane. Une invitation au voyage autour du globe à travers un premier LP enregistré pendant l’été 2016 dans la chaleur infernale du sud de la France. Et déjà une volonté de transporter le public vers les contrées psychédéliques et kaléidoscopiques d’Animal Collective et The Voidz.
Suivent en 2018 la phase 2, Burmese Hours, LP de rupture plein de rage et de mélancolie désespérée suit en 2019 Bursminutes, chapitre final de la trilogie, avec ses 8 titres intimistes et explorant la pysché humaine.
Fermi Paradox, premier EP en date, intervient comme une relecture du tryptique. A travers 3 chansons remasterisées, le groupe s’interroge sur la place de l’Humain dans un univers si vaste que nous pourrions bien y être fatalement seuls.

THE BURMESE DAYS

art rock / Rennes